Maisonnette des Black

C'était un matin de printemps,même si les nuages ne disparraissaient pas. Billy me hailat deja du salon. Mais je n'avais vraiment pas envie de sortir de mon lit. Il entra alors dans ma chambre juste pour me demander de l'allonger sur le divan. J'en profitais pour prendre une douche. A peine assis sur le canapé pour regarder la télé : la sonnette de la porte d'entré sonna. Je me précipitais pour ouvrir quand je remarquais à la silouhaite que notre visiteur m'était inconnu.

-Bonj...,je m'arrêtai nette.

Un instict de très grande défense venait de me subbmerger. La femme en face de moi, ressemblait étrangement au Cullen. Elle était blanche comme un linge, avait des yeux dorés, et surtout très très jolie. Voir même belle. Alors pour que je trouve une fille belle : je suis plutôt du genre difficile à satisfaire. Le seule fille que j'ai trouvé jolie jusqu'à présent c'est Bella Swan.
J'avais le souffle coupé mais lancais quand même :

-Qui chercher vous ? dis-je avec une voix qui s'étais complètement étrangler au fond de ma gorge. C'est alors que je me souvint que mon père avait plusieurs fois m'ensioné un accord passé entre les Cullen.

Je n'avais pratiquement jamais vu les Cullen donc je ne savais pas tout à fais si celle si faisait parti de leur "famille".
Cet accord était-il si important ? J'en doutais je voulais donc l'inviter à entrer sauf que l'instict me poussait à lui refermer la porte au nez en l'insultant avec autant de gros mots que j'en connaîssais, dans mon vocabulaire de mal élevé, (ce que je ne fit pas trop tétanisé par une angoisse que je n'identifiais toujours pas)

Elisabeth s'était levait très tôt ce matin là pour aller courir dans la forêt. Quand elle ariva cependant devant le sentier pédestre, elle soupira et voulu changer un peu son parcours habituel. Elle prit son portable, le fourra dansune de ses poches et elle commença à courir en faisant du hors piste... Bien que cela ne soit pas bien du tout.
Elle couru pndant deux bonnes heures avant de couper son mp3 qui tournait en boucle. Elle le mit en hauteur et entreprit de traverse un petit ruisseau.
Bien évidemment pour mademoiselle Elisabeth Chelsea Andrews cette petite traversée ne se passa pas bien. Elle glissa sur une pière et tomba à la renverse. Elle pu sauver son mp3 mais son téléphone portable lui était complètement trempé. Elle jura un petit moment en l'égoutant sur le sol. Elle le rangea de nouveau dns sa poche et se remit à courir. Pour une fois dans l'année à Forks un soleil brillait, ce qui permis à la demoiselle de sécher rapidement.
Une demi heure plus tard, elle s'arrêta pour boire un peu d'eau, bien sur. Elle regarda autour d'elle et elle se rendit compte qu'elle était et bien comment dire... Perdue. Elle était complètement paumé. Elle décida d'appeler quelqu'un mais bien évidemment son portable était hors service. Elle marcha encore un peu et se retrouva face à une petite maisonette. Elle sourit et soupira de joie quand elle vit un voiture garée devant. Elle tapa à la porte et allait demander son chemin quand le jeune homme l'agressa sans de véritable raison. Elle recula un peu surprise et dit timidement :

Euh.. Excusez moi... Je ne voulais pas us déranger... Mais je voudrais savoir s'il était possible que vous m'aidiez....

Elle sourit timidement face au jeune homme si imposant et elle se demanda bien si en effet elle avait les yeux couleur or.

Un temps soit peu honteux, je réalisais que cette jeune femme n'était pas un des Sang-Froid qui meublait nos légendes, à nous autres Indiens Quileutes.

-Euh...Oui ! Biensûr ! répondis-je à sa question.

Elle me répondit en un sourire éblouissant, mais tout de même timide (je l'avais surement offensé). Je me sentis vraiment mal de l'avoir à moitié aggressé comme tel. Une longue cheveulure blonde était remontée en un chignon assez lâche retenu par une pince. Elle portait un sur-vêtement rose et violet des chaussures de sports pleines de boues. De son sac à dos dépassait les écouteurs d'un baladeurs mp3 et elle tenait à la main un téléphone portable littéralement trempé. Elle semblait avoir très chaud, une fine pillicule de sueur glissait lentement sur son frond.

-Entré. poursuivis-je avec beaucoup plus de courtoisie. De quoi avez vous be...besoin exactement, made...demoiselle ?

Ma voix était faiblarde face à cette beauté venu tout droit du paradis. J'avais l'air d'un idiot, car je mettais un certain temps à repondre et en plus je begayais. A croire que j'étais amoureux. Mais non. Non. Elle m'éblouissait et ça s'arrêtait là !

Avant même d'entendre et d'attendre sa réponse, je tournais les talons, histoire de ne pas montrer mon expression d'imbecile. Ne voyant plus son visage j'étouffais un soupir de soulagement : il m'était très désagréable de réagir ainsi, aussi bêtement.

D'un mouvement brusque, je me retournais pour lui faire face. Et là seulement elle ouvrit la bouche pour parler d'une toute petite et timide voix, semblable à celle d'une petite fille fragile. J'ai du l'effrayer me culpabilisais-je tout-de-suite.

Elisabeth se recula un peu pour pouvoir faire face au jeune homme mais également pour pouvoir fuire au cas où. Ne sait-on jamais. Elle se passa une main sur le visage et se courbaunpeu pôur reprendre son souffle. La frayeur qu'elle avait eut avait eut pour effet d'accelerer son rythme cardiaque. Elle reprit lentement sa respiration. Quand elle ne fut plus à bout de souffle, elle releva la tête et souria timidement au jeune homme.
Elle le regarda. Il portait une tenue peu banal. Il avait les cheveux complètement décoiffé et n'avait pour seul vêtement un short en jean délavé. Elle sourit et s'avança un peu maladroitment quan il lui deanda ce qu'elle voulait :

Euh.. Je ne voudrait pas vous déranger mais serait-il possible que vos m'indiquiez le chemin pour rejoindre une valée non loin des falaises ? Je me suis perdue en m'éloignant du chemin.

Elle lui sourit timidement avant d'éternuer. Elle ajouta :

Mon téléphone portable est complètement hors service, dit elle en lui montrant et en souirant.

Elle vit le jeune homme rougit comme une pivoine et elle sourit intérieurement. Il avait également du mal à répondre aux questions qu'elle lui posat. Cependant, la jeune Andrews ne releva pas et ne dit rien concernant cela. Elle le regarda se retourner et quand il lui fit de nouveau face elle sursauta. A croire qu'elle avait en face d'elle une personne presque animale. Elle baissa la tête et rougit. Elle reprit alors la parole et dit :

Pourriez vous m'indiquez le chemin alors s'il vous plait ?

Elle prit sonc ourage à deux mains et s'avança vers lui .Elle le regarda droit dans les yeux un peu inquiète quand même de sa réaction.

Je m'appelle Elisabeth et vous ?

Elle passa le pas de la porte et fut contente de retrouver un epu de chaleur. Elle se frotta les mains et regarda autour d'elle. Elle se retourna et attendit dans l'entrée de la porte voir comment le jeune homme réagirait.

Alors elle me demanda son chemin, et quelques instant plus tard je lui répondis :

Ah ! Euh...Je ne sais pas trop comment vous expliquer...,lui dis-je avec un sourire désolé, Je pourrais vous ac...accompagnez...,je stoppais, seulement si vous n'y voyez pas d'incovénient ! m'enpréssage de rajouter.

Elle éternué et approuva. Ce qui eut le don de me soulager. Elle m'expliqua aussi l'état de son portable.

-Si vous avez besoin d'apeler q...quelqu'un vous pouvez toujours utiliser le téléphone d'ici. dis-je cordialement.

La politesse ne m'était pas familière, mais là je m'inpressionnais vraiment. Ce qui me fit sourire denouveau.

C'est alors qu'elle me demanda mon prénom.

-Moi ?biensur que c'était a moi quelle demandais, je rougis. Euh...Jacob Black !

Un petit sourire timide se dessina sur ses lèvres pulpeuses, pourquoi donc ? Après toute cette politesse, elle insista un peu pour entrer. Je m'en voulu tout de suite de ne pas le lui avoir proposé. Je rougis donc denouveau.

-Euh...,dis-je en essayant de me rappeler son prénom, Elisabeth...veux-tu entrer un moment, ou veux-tu p...partir maintenant ?

Elle me répondit mais je ne l'écoutais déja plus : elle avait une marque bizarre dans le cou.
Une cicatrice en croissant de lune. Mon père avait des fois aussi mentiauné ces traces. Dans un contexte assez effrayant, mais je n'arrivais pas à me souvenir de quelle légende il sagissait.

Elle salua d'un geste de la main,un homme assis allongé sur le canapé en s'excusant de sa présence ici. Elle continue d'écouter Jacob et dit en lui souriant :

Je suis vraiment désolée de vous embêter. Je veux bien que vous m'accompagniez si vous n'avez bien sur rien à faire. Je ne veux pas vous déranger. Jen'y vois auun inconvénient.

Elle éternua en souriant.

Non, non pas de soucis. je n'ai vraiment besoin d'appeler personne. Je vous assure.

Elle sourit une nouvelle fois. elle trouvait le jeune homme très poli avec elle, une simple promeneuse perdue.

Enchantée Jacob. Je suis vraiment contente de vous connaître même si j'aurais préféré dans d'autre cirscinsatnce.

Elle rit doucement et acquiessa à la proposition de Jacob.
Elle entra dans la maison de Jacob et sourit. Elle sourit timideent et entra dans la maison. Elle observa le jeune homme et sourit interieurement pour ne pas le mettre plus mal à l'aise. Comme à son habitude, la jeune Andrews fasait de l'effet sur les hommes.

Merci beaucoup Jacob.

Elle entra. Elle attendt que Jacob passa devant elle avant de faire unpas de plus dans lamaison. Elle remit ses cheveux en place et toucha distraitement sa marque. Elle sourit en repensant à ce souvenir et à son petit ami vampirique. Elle suivit Jacob et dit :

Je ne veux vraiment pas te... désolée... vous déranger. On peus y aller quand ?

Elle sourit et rougit en pensant qu'elle l'avait tutoyer.

» Jacob Black