{SAY ME WHO YOU ARE}
NOM : Denali
PRÉNOM(S) : Carmen
DATE & LIEU DE NAISSANCE : née le 6 juin 1792 en Angleterre.
AGE :
RACE : Vampire Végétarien
STATUT : Mariée à Eleazar
EMPLOI : /
CLASSE SOCIALE : Riche
TICS OU MANIES : Non
UN MOT POUR TE DECRIRE : Sagesse
NIVEAU SCOLAIRE : /
FAMILLE : Compagne d'Eleazar Denali et devenue alors mère de Kate, Tanya, Irina, Sasha et Vasili.
CE QUE TU AIMES : les enfants mais surtout les petits bébés, je les trouvent trop mignon. J'aime aussi les couleurs flambloyantes, très vive, qui représentent ma joie de vivre. J'adore le sucre, ma drogue, même en étant un vampire.
CE QUE TU N'AIMES PAS : Je n'apprécie pas les gens déprimés qui se plaignent de la vie et qui nous gâchent la nôtre. Je déteste manger la nourriture, salé, des humains, ça me répugne. Je n'aime pas non plus les petits insectes, du genre fourmis, punaises ou encore les moustiques.
AUTRES CHOSE A SIGNALER ? : Non
[/td][/tr][/table]
{LES DÉTAILS MAINTENANT}
PHYSIQUE : Cette femme d'une beauté exceptionnelle (normal pour un vampire...) est remarquable par un visage d'une incroyable douceur qui n'est pas sans rappeler celui de sa mère humaine. D'une pâleur sans pareille, sa peau reflète des nuances nacrées qui réfléchissent la lumière dans une lueur époustouflante. Ses cheveux noirs comme l'ébène, tombant à mi-chemin entre le haut de son dos et le creux de ses reins, encadrent deux yeux ocres (révélant sa condition de 'végétarienne') qui ont des étincelles de perspicacité et de vivacité déconcertantes. Ses lèvres rouges et fines s'étirent sous un nez parfaitement droit et étroit et entre des joues minces et légèrement creusées. Sa silhouette élancée mesurant près du mètre soixante dix a la même grâce qui touche la totalité des vampires, révélant une démarche puissante et fière.
CARACTÈRE : On dit que l'habit ne fait pas le moine, pourtant, le physique hors du commun ( pour un humain ) de Carmen reflète plutôt bien son caractère. D'un naturel doux et prévenant, cette britannique d'origine est une femme d'une curiosité insatiable, elle s'intéresse à tout ce qui l'entoure comme à tous ceux qui l'entourent. Elle se définit elle-même comme une oreille attentive, comme une source de réconfort et d'appui. Cette force de caractère lui permet d'en savoir toujours plus que ce qu'elle devrait savoir en temps normal. Mais cette femme est aussi d'une assez grande jalousie. Elle sait contenir colère et déception, mais la susceptibilité reste particulièrement présente en elle. Elle n'est tout de même pas du genre à prendre la mouche, si quelque chose la tracasse, elle reste très douée pour en faire une totale abstraction. Solitaire comme beaucoup de vampires, elle n'en est pas moins très protectrice en ce qui concerne son clan. Elle se damnerait pour eux... Si elle avait encore une âme!
HISTOIRE :
Juin 1792, Londres.
***Morgane Hamilton, épouse d'un aristocrate écossais, donne naissance à sa fille unique, Carmen.
***Choyée, protégée (peut-être un peu trop), la petite Carmen était le rayon de soleil de la vie sans lumière de sa mère, une femme douce, belle et intelligente. Dès son plus jeune âge, Madame Hamilton a su éduquer sa fille dans un monde où la culture et les arts occupent une place primordiale. Chaque soir, elle passait une heure avec sa petite protégée pour lui comptait des histoires. Mais pas des histoires ordinaires: elle lui racontait la vie de Madame de Sévigné, une femme de lettres française qui entretenait une correspondance avec le tout Paris, les débuts d'écrivain de Jane Austen, et d'autres histoires palpitantes de la vie des gens de ce monde.
***Dans leur vaste manoir de Londres, Morgane et Carmen Hamilton étaient bien seules. Le maître de cette famille, père de Carmen, avait obtenu la main de Morgane par mariage de convenance, il n'y avait donc aucun amour entre les parents de la petite fille, et cela se sentait beaucoup, en particuliers chez Morgane. Georges Hamilton était militaire au même endroit que le colonel Peterson, et afin de garder un statut social hérité de ses parents, il s'était arrangé pour être dans ses petits souliers. Quand il apprit l'existence de Morgane, il avait tout fait pour conclure ce mariage. Le colonel Peterson, souhaitant le meilleur pour sa famille, avait rapidement accepté, mais après le voyage d'études qu'il entreprenait avec sa fille en Italie. Un an plus tard, Morgane rentrait donc de Florence, épousait cet homme de bonne famille, mais un lourd secret sur le cœur. Elle n'était pas heureuse, mais c'était le lot commun de beaucoup de femmes, alors personne n'y fit attention.
***Carmen Hamilton commença donc sa vie au milieu de parents qui se parlaient à peine, un père absent et une mère perdue dans un rêve qu'elle taisait. Plongée dans un univers littéraire, Carmen n'en était pas moins admirative de cette femme qui lui montrait toutes les facettes de la vie qu'elle connaissait. Elle lui montrait tout, l'emmenait partout, lui faisait lire les plus beaux textes littéraires. Carmen devenait une jeune fille très vive d'esprit, intelligente et cultivée. Et plus elle grandissait, plus la ressemblance avec sa mère était frappante. Elles avaient les mêmes traits, la même silhouette, les yeux et la peau de la même couleur. Si elles n'avaient pas eu dix-neuf ans de différence, on les aurait pris pour des jumelles sans l'ombre d'un doute.
***Quand elle eut quinze ans, Carmen partit en voyage en Italie avec sa mère. Elles devaient rendre visite au colonel Peterson qui avait fini par prendre sa retraite dans cette ville qu'il affectionnait tant. Pendant ce séjour, Carmen trouva sa mère triste, perdue dans ses pensées, beaucoup plus qu'à l'accoutumée. Étonnée par les humeurs changeantes de sa mère qui passait de la joie et du sourire quand elle passait du temps avec sa fille à la mélancolie pure lorsqu'elle était seule et inactive, Carmen décida d'interroger sa mère à ce sujet.
***Alors qu'elles se baladaient toutes deux près d'une fontaine de Florence, Carmen, trouvant sa mère plus mélancolique que jamais, se lança enfin. Gênée, Morgane décida pourtant que sa fille était en âge de connaître les élans du coeur, et lui conta un étrange soir qui avait bouleversé sa vie. Cette même fontaine devant laquelle elles passaient, un homme au regard pénétrant et intense, avec les plus belles manières qui soient, une conversation sur quelques auteurs qu'ils aimaient tous deux, une marche lente jusque la demeure d'une jeune fille de bonne famille... Un coup de foudre? Morgane n'avait jamais su exactement ce qu'il en était, mais cette rencontre avait bouleversé sa vie, avait chamboulé toute sa conception de la vie, de sa vie. Etait-elle amoureuse de cet homme, de cet Eleazar Denali, qui avait disparu aujourd'hui?
***Carmen se mit alors à réfléchir sur l'aventure de sa mère. Devait-elle s'enfermer dans un rôle qui la frustrerait elle aussi? Devait-elle passer à côté de ses sentiments et avoir les plus grands regrets de sa vie? Fallait-il obéir à des lois stupides qui n'étaient faites que pour les hommes? Alors Carmen décida de ne pas commettre les mêmes erreurs que sa mère. Elle voulut partir étudier la littérature dans les capitales d'Europe et passa quelques années à Paris et Berlin. Elle revint à Londres l'année de ses vingt-quatre ans.
***Elle passa pour une vieille fille, toujours célibataire, un peu trop indépendante, forte de caractère. Mais Carmen s'en fichait, elle vivait, profitait de la vie. Et Morgane était d'une fierté sans borgne pour elle, un peu envieuse c'était certain, mais tellement heureuse que sa fille puisse vivre une existence palpitante. Carmen participait à tous les évènements de la capitale britannique. Salons littéraires, expositions, soirées mondaines. Vieille fille certes, mais très appréciée pour sa beauté, son intelligence, sa vivacité, son esprit et sa gentille.
***Alors qu'elle rentrait d'une de ces soirées mondaines, Carmen fit une rencontre pour le moins inattendue.
Juin 1816
***Carmen ouvrit les yeux et se trouva nez à nez avec cette fameuse rencontre. Avec Eleazar Denali. Carmen était différente. Elle avait les yeux rouges, et était plus belle, beaucoup plus belle qu'avant. Mais sa vue avait changé, son toucher avait changé, son odorat, sa faim... s'était transformée en soif. Soif de sang... Ses instincts étaient incontrôlables. Elle était devenue vampire. Un vampire créé par l'homme si mystérieux que sa mère avait rencontré à Florence, l'homme qu'elle avait rencontré ce soir là et sous le charme duquel Carmen était tombée.
***Les premières années furent difficiles. D'abord envers sa famille, car Carmen dut se cacher. Elle fut portée disparue. Ne revenant jamais, cela finit par tuer Morgane. Ensuite, et d'un point de vue plus vampirique, il s'avéra qu'Eleazar était un vampire "végétarien" et il essayait tant bien que mal d'imposer ce régime à sa douce. Elle n'y voyait pas d'inconvénients, bien au contraire. L'unique chose qui comptait pour elle était de rester près d'Eleazar et elle ne souhaitait pas "être un monstre". Elle le suivait partout où il allait. Ils firent leurs vies ensemble, "adoptèrent" leurs cinq filles, partirent en voyage avec les Cullen (une autre famille de vampires "végétariens"). Ensemble, en famille, en clan, ils finirent par s'installer en Alaska.
***Presque deux cents ans que Carmen était vampire, qu'elle vivait avec Eleazar qu'elle aimait plus que tout. Il l'aimait aussi, c'était certain. Mais Carmen savait qu'elle avait le même visage qu'une autre femme... Une autre femme qui avait touché cet homme avant elle.
{THE PLAYER NOW}
Où avez vous connu le forum : Par une amie.
Votre avis dessus : Bien
Des suggestions pour l'améliorer ? Non
Votre niveau RP : Moyen
Quelque chose pour finir ? : Non
Code du règlement :
Spoiler: