Nouvelle rencontre [Elisabeth]

Carlisle avait démarré sa journée comme d’habitude, en prenant de quoi passer pour un humain tout ce qu’il y a de plus normale. Avait montée dans sa superbe Mercédès noir et avait prit la direction de l’hôpital, à vitesse plus ou moins modérée on va dire, bien que tôt le matin, avant l’heure de pointe pour l’école, il n’y avait pas grand monde sur les routes ni prêt de l’hôpital. Il s’était garée tranquillement et était rentrée par les urgences, bien sur l’odeur habituelle, de sang humain lui revient au nez, n’y prêtant plus aucune attention bien que le sentant, il esquisse un léger sourire en guise de bonjour à la réceptionniste, qu’il lui précisa qu’il n’était pas de garde pour les urgences et qu’il pouvait allez dans son bureau. Il acquiesce, saluant ses collègues le plus simplement possible.

Prenant l’ascenseur, il monta au troisième et déposa ses affaires dans son bureau, posa son blouson sur le porte manteau et sa sacoche à côté de son bureau prés de sa chaise. Il enfila à la place la magnifique blouse blanche, caractérisant les médecins. Son bureau n’était pas vraiment remplis u décorée de quoi que se sot, il restait un peu impersonnelle, peut être juste une photo de famille, prise il y a très longtemps mais ça personne ne le saurait jamais, du moins il l’espérait. En première lieu il reçu une femme, qui s’était coupée en faisant un travail quelconque, il lui soigna doucement les mains désinfectant et remettant un bandage, il veilla à tout bien lavée à nouveau et a jeter les cotons dans sa poubelle, avant de la laisse ressortir. Il rentra dans son bureau à nouveau.

Prenant le dossier, il commençait à le remplir d’une écriture fine, petite légèrement penchée, mais facilement lisible et agréable aux yeux aussi. Ayant terminée ça il analysa, le dossier d’un autre patient puis ne trouvant personne qui était mise sur rendez-vous, il décida de faire un petit tour de l’hôpital question de suivre ces patients seulement voilà, là il s’ennuyait vraiment. Carlisle décida alors de descendre vers les urgences apporter son aide là oui pouvait. Il repassa, vers le bureau de l’accueil avant de se mettre devant son bureau, l’odeur de sang était toujours bien là visiblement quelqu’un saignait et si on ne l’avait pas prit directement c'était que ce n’était pas si grave que ça.

-Puis-je savoir c’est à qui ?

Elisabeth Andrews était venue aux urgence ce matin là. La jeune femme s'était coupé en vérifiant l'identée d'un tableau. C'était complètement idiot. Elle avait simplement coupé la toile sur ses bords avec un scalpel. Rien de plus banale pour cette experte en art. Mais ce jour là, elle avait la tête illeure et ne remarqua qu'après sa belle entaille dans la paume de sa main droite, juste au dessus de sa amrque blanche en forme d'étoile. Elle s'était recuée pour ne pas tâcher le tableau et avait renverser un vase. En voulant ramasser les morceaux de verre, elle s'en planta plusieurs dans sa main déjà bléssée. Pour résumer, le début de journée pour la jeune Elisabeth Chealsea Andrews commenaçait très mal.
Elle prit alors un chiffon dans sa cuisine et entoura sa main bléssée avec celui-ci. Elle prit soin de ne pas trop serre le chiffon. Elle voulait pas embêter lmes médecins. Déjà qu'elle n'aimait pas les hôpitaux.

Elle entra aux urgences et elle se présenta à l'accueil. Puis, elle s'installa dans la salle d'attente. Elle vit un docter se présentait à la salle. Il semblait s'ennuyer beaucoup. Elle ne l'avait qu'entre aperçut et ne pouvait mettre un visage sur ce docteur qui semblait s'ennuyer. Quand ilentra dans la pièce, elle le regarda ébahis. Elle pensa que cela ne devait pas être possible et elle garda son idée pour elle.
Elisa se leva quand il demanda à qui était le tour. Elle s'avança vers lui et luis ourit en lui tendnat la main valide. Elle lui dit :

Bonjour Docteur. Je crois que je vais casser votre ennuie.

Elle lui sourit avant de le suivre.

A peine sa question posée que l’odeur de sang de la tout de suite, se fit plus forte et plus présente. Ca se rapprochait visiblement et les pas qu’il entendait allait dans se sens aussi. Il pose un sourire finalement avant de se retourner pour poser son regard vers la voix qui s’éleva aussi. Ces yeux dans les tons dorés croisant le regard de la jeune demoiselle face à lui, il esquisse un léger sourire. Bien que ses yeux dévièrent rapidement vers la blessure cachée par le chiffon, sa devait pas être très joli joli. La voyant tendre la main, bien que sa prise soit froide, il lui serra la main poliment avant d’enchainer en la regardant à nouveau. Inutile de la faire languir dans cette état au moins le sang coulera et au mieux sa sera pour elle, bien qu’elle ne devait pas risquer de se vider de son sang si elle n’avait pas tenté de s’ouvrir les veines.

-Bonjour, n’importe qu’elle cas case mon ennuie tant que je peux aider…Venez, allons dans une salle pour voir cette mais, ça sera plus préférable mademoiselle …?

C’était une manière comme une autre de savoir son nom. Après tout il faudra bien qu’il en associe un sur le dossier qu’il édifiera et sa sera plus facile pour elle aussi d’avoir les remboursements si c’était à son nom. Un dernier sourire d’encouragement et bienveillant. Qu’il désigna d’un geste de la main le couloir que prolongeait la salle d’attente. Il se mit en route avant de dépassé deux porte et de rentrer dans la troisième. Le typique bureau appartenant à personne, et résumant bien l’hôpital. D’une voix toujours douce et agréable il reprend.

-Je vous en prie asseyez-vous.

Elisabeth sourit au Docteur. Quand il lui serra la main, elle reconnue la froideur habituel des... Non, pensait-elle. Ou alors il doit être végétarien. Enfin, la jeune femme chassa cette idée de sa tête. Elle était avant tout venue pour se faire soigner sa main. Elle regarda le Docteur quand il lui parla et finit sa phrase :

Andrews. Elisabeth Andrews. Je suis quand même contente d'être le cas qui casse votre ennuis docteur...

Elle ne finit passa phrase de façon à obtenir son nom. Elle ne avait pas pourquoi mais elle avait l'impression d'avoir entendu parler de lui. Enfin, elle reprit la conversation où elle en était restée :

Vous faites un très beau métier Docteur. Heureusement qu'il y a des gens comme vous.

Elle lui sourit et le suivit dans une salle d'examen. Elle s'assied en fae de lui et lui dit :

Alors voilà, Docteur. Je me suis coupée en expertisant une oeuvre d'art... enfin bref, dit-elle en souriant car elle savait très bien que si elle commençait à parler peinture, elle ne s'arrêterait jamais. J'ai ensuite fait tomber un vase par terre et en ramassant les morceaux, je crois m'en être plantée un dans ma main déjà bléssée. Tout ceci n'est pas très glorieux comme blessure de guerre, dit-elle en riant.

Elle observait le docteur et se demandait si elle avait raison. Si c'était bien un... Elle secoua sa tête et lui sourit. Cependant, la froideur de ses mains, ses yeux couleur or... Elle murmura en tournant la tête.

Vampire...

Elle secoua sa tête et espérait qu'il n'ait pas entendu. Elle lui tendit sa main pour qu'il commnce à l'examiner.

J'ai fait ce que j'ai pu pour ne pas entailler encore plus ma main. Je ne sais pas si cela à marcher enfin vous me le direz bien.

Elle lui sourit. Il n'avait pas l'air d'avoir entendu ou relever sa réfléxion. Elle soupira et reprit un rythme cardiaque normal. Elle regarda le docteur toujours fasciner et cherchant encore à savoir si oui ou non...

Evidemment comme prévu et puis pourquoi le cacherait-elle aussi, la jeune femme donna son nom, Elisabeth Andrews, ca ne lui disait pas grand-chose de but en blanc, mais c’était toujours mieux. Il retenait le nom de ses patients et au moins, ni elle ni sa famille n’était venu ici. Bien que ca n’aurait rien changé tout le monde à droit à être changer. Vu qu’elle rétorqua avec le même stratagème, il lui adressa un sourire en coin avant de répondre.

-Cullen…

Il n’alla pas plus loin, parfois dans cette ville à l’entente de son nom on se méfier ou on regardait bizarrement enfin surtout si on se dirigeait vers la push, ici les habitants étaient habituée à leurs présences et ne relevait plus beaucoup. Un nouveau sourire s’étira sur ces lèvres pendant la marche jusqu’a la salle.

-On n’a tous sa vocation, il n’y a pas de métier inutile.

Installée, elle anticipa sa prochaine question, maintenant qu’il avait son nom, il aimerait effectivement avoir ce qui s’était passée pour en arrivée là. Il l’écouta attentivement, voila pourquoi il était dangereux de ramasser des morceaux de verre à main nue, surtout si on n’est déjà blessée à la base, ma fois ce ne serait pas la première fois qu’il soigne ce gendre de blessure. Il entendit la suite. Il resta de surpris à peine plus d’une seconde avant de reprendre une tête normale. Comment savait-elle ? Si tout les humains de la ville savaient leurs existences c’était risquée l’arrivée des Volturi et il n’en avait aucune envie. N’étant pas censé le savoir, Carlisle choisit de l’ignorer.

-Nous allons-voir ça, si vous avez mal ou qu’il y a quoi que se soit dite le moi.

Avec des gestes gracieux et sans un geste inutile, il déballa avec douceur sa main du chiffon qui commençait à s’imbiber de sang. Il découvrit la blessure. Il jeta le chiffon dans sa poubelle, l’odeur de sang emplit ainsi la pièce, ma fois il n’eu aucun mouvement ses yeux restant dorée.

- Vous vous êtes pas ratée Elisabeth.

Dit-il sur un ton léger avant de se relevée et de partir chercher tout se nécessaire dans différents armoires qu’il ouvrit méthodiquement. Il déposa le tout sur la table. Il prit d’abord de quoi faire un garrot et releva la manche de la demoiselle avant de l’installer en dessous du coude. Finalement il enfile des gants et attrape une pinces à épiler ou dans ce genre la. Reportant son regard vers elle, il lance un sujet de discussion au cas où elle ne se sentirait pas bien, elle pourrait s’y raccrocher.

-Alors comme ça vous aimez l’art ?

Carlisle, commença alors à retirer les petites morceaux de verre près de la blessure, mieux valait les retirer que les enfermer avec.

Elisabeth regardait le docteur Culle travaillait. Il était vraiment très doux et elle ne sentait pas la douleur. Cependant son esprit vagabondé toujours sur son idée qui ne partait pas. Elle prit son courage à deux mains et dit :

Excusez moi Docteur, mais je trouve votre couleur d'yeux très belle. C'est bien or, je ne me trompe pas ? C'est peu commun comme couleur.. Je ne connais qu'une personne les ayant comme cela, il s'appelle Micheal Stell. Peut être le connaissez-vous ?

Elle tourna la tête quand il sortit un morceaux de verre de sa main. En effet, elle ne s'était pas loupée. Elle sourit quand il parla d'art. S'il voulait en parler pouquoi ne pas en profiter après tout.

Si j'aime l'art. J'adore simplement. C'est ma vie. Je suis experte en art. J'ai donc très souvent en ma possession des tableaux représentant des parsonnages historiques, tenez par expemple. Le tableau que j'expertisais avant de me faire mal, et bien il représente César et Cléôpatre. Sinon j'aime beaucoup les sculptures et la photo. Ah les photos, j'adore simplement.

Elle sourit et jetta un oeil sur sa main.

Un de mes tableaux préféré c'est une réprésentation datant du XVIIIème siècle du comte Dracula. Vous savez le vampire. Il est telment beaux !!! Pas le comte, le tableau. Il est si noir. Il représente très bien la vision des vampires du XVIIè. Par contre maintenant, je pense que si j'étais un peintre, je représenterais les vampires comme étant des personnes très belles à la bautée froide comme le marbre avec des yeux or comme les vôtres, dit-elle en souriant.

Elle le regarda. Son visage n'exprimait aucun sentiment. Elle le regarda et lui demanda tout bas comme seul un vampire pourait entendre :

Je ne me trompe pas. .. Vous êtes bien un vampire Docteur Cullen ?

Continuant avec l’habitude des cas d’urgence et difficile, il savait très bien ce qu’il devait faire et pourrait très certainement presque le faire les yeux fermées mais mieux ne valait pas, ça ne rassurerait très certainement pas la jeune patiente. Il déposait les morceaux de verres petits ou grands sur un papier près du bureau. Il continua de nettoyer la plaie quand Elisabeth l’interrompit. Il releva la tête vers lui, ces yeux aussi donc. Brun aurait été plus passe par tout ainsi à la limite que noir mais s’étant nourris il n’y a pas très longtemps, ca ne pouvait être autrement mais rouge serait plus inquiétant. Surtout dans un hôpital ou cette odeur ne lâche pas vraiment les urgences, c’était à devenir fou. Mais volonté et habitude vous ouvre tous ou presque.

-Ma fois dorée ou brun convient aussi. Le plus souvent c’est du à un manque de minéraux mais dans mon cas non..Non je ne connais pas de personne portant se nom..Vient-il d’arrivé à Forks ?

Si c’était la même couleur que lui, ca voulait dire vampire bien que végétarien. Mais mieux valait tirer ca au claire tout de même et le faite qu’il ignore tout de lui prouve qu’il ne doit pas être ici depuis très longtemps et à ces souvenirs ni sa femme ni ses enfants ont mentionné ce nom. Ma fois maintenant il ferait attention et devrait peut-être essayer de croiser cet homme. Quand elle reprend sur l’art. Carlisle l’écoute attentivement mais terminée de nettoyer sa plaie de la blessure coupante du verre et redépose la pince. Prenant un coton qu’il imbibe de désinfectant il passe sur les bords de la plaie et nettoyé ainsi un peu sa main et les endroits intacts de sa peau. Avec de jeter sa à la poubelle.

-J’ai toujours apprécié l’histoire des civilisations plus ancienne notamment la romaine et le grecs. Des trois, j’apprécie plus les tableaux et les photos mais pas beaucoup les sculptures.

Ce n’était que son avis de toute façon, elle avait le droit d’avoir le sien. Il prend un fils et une aiguille et l’enfile alors qu’elle continue.

-On n’a fait énormément de films sur le compte Dracula, certain mieux que d’autre..

Il allait finalement commencer quand le sujet de la discussion bien que passif sur les vampires le ramena à des caractéristiques, il continuait de faire semble de rien mimant le calme le plus parfaite et restant inexpressifs…La question tomba dans le silence, il pourrait tout nier n’est ce pas, mais elle continuerait à faire de suppositions de plus en plus folle et pourrait propager l’idée tandis que si elle avait sa réponse peut-être se calmerait-elle. Après un court mais intense batail intérieur, il reprit la parole après l’avoir fixer. Mais commence à recoudre sa blessure.

-Cela va changer votre façon de me voir ?

Demanda t-il simplement. Il ne niait pas comme il n’acceptait pas.

Elle attendait patiemment que le docteur finisse son travail. Quand il lui réponda ce qu'elle ne considérait pas comme une réponse, elle fronça les sourcils et serra son poingt valide. Elle répondit simplement :

Peut m'importe que vous soignez vampires, loup garrou, momis ou fantomes. Tout ce que je vois c'est que vous êtes très compétant. Je me posait juste la question car vous avez des caractéristiques identiques à cel d'un vampire que je connais...

Elle se mordit la lèvre inférieure et se dit qu'elle aurait mieux fait ed se taire. Elle soupira et laissa le silence s'installer. Après plusieurs minutes elle se retourna et regarda le docteur Cullen toujours aussi frustrée. Elle lui dit alors :

Je pense que vous ne me dirais rien. Après tout vous avez raison... Je ne suis qu'une humaine... Enfin...

Elle soupira et retira sa main quand il mit du désinfectant.

Aïeeee !!! Désolée, dit-elle en tendant de nouveau sa main. Je vous laisse travailler.

Elle prit une mèche de cheveux qu'elle machouilla un moment en attendant qu'il reprenne la parole.

Le faite qu’elle serre le point ne lui échappa évidement pas, mais devait-il s’en inquiéter ? Surement pas, elle ne risquait pas de lui faire mal de toute façon, même si faire éclater la vérité au grand jour serait la un bien grand tord qui les obligeraient à fuir autre part et loin, la ou même leurs nom ne leurs dissent rien à ces habitants. Ma fois ne pensons pas de manière défaitiste. Il al laissa parler et continua tranquillement en restant concentrer et tout à fait efficace sur sa tache du moment. Il apprécia pourtant sa réaction. Se plongeant dans ces réflexions un vampire qu’elle connaît. Il fit la liaison avec le jeune homme ayant la même couleur d’œil que lui donc se Michael steel. Un vampire, si elle connaissait déjà l’existence et ne l’avait pas révéler, il pouvait donc le lui dire sans prendre de très gros risque. Il termina de recoudre et coupa e fils. Par sureté il mit du désinfectant passant cette fois sur la plaie refermée. Elle retira sa main avec un léger cri. Doucement il reporte son regard vers elle, toujours extrêmement calme au contraire d’elle apparemment.

-Elisabeth, calmez vous s’il vous plait. Je m’excuse j’aurais du vous prévenir que j’allais passez avec le produit, mais certaine personne n’apprécie pas vraiment la vue que sa offre et c’est un réflexe humain de regarder..

Il attend un peu prenant un morceau de bandage mais la regarde à nouveau dans les yeux.

-Mais oui vous avez raison. Je suis un vampire…et en vous n’inquiétez pas pour votre amie, si j’aimerais le rencontrer ce n’est que pour des raisons de facilitée…le comble de toute reste que je suis médecin non ?

Il esquisse un sourire, autant en rire. Il pose le bandage et mit d’abord la bandelette de gaze en place avant de poser le pansement blanc qu’il colle. Doucement après il desserre le garrot qu’il avait fait petite à petite.

Elisabeth craignait que le docteur Cullen croit qu'elle allait révéler leur odentiter. Bien sur qu'elle n'allait pas faire bien évidemment car elle était elle même tomber folement amoureuse d'un vampire. La petite humaine Andrews sourit et regarda de nouveau le Docteur. Elle pensa qu'il devait bien avoir du courage pour soigner des personnes et surtout pour résister à l'odeur du sang qui devait être encore plus ennivrante pour lui. Pour elle, le docteur Cullen n'était qu'un docteur un point c'éest tout. Il était bien évidemment un vampire mais elle s'en fichait pas mal. Le tout c'était qu'il se contrôle quand il était avec ses patients et jusque là, il ne lui avait pas sauter à la gorge. Elle repensa à leur conversation et rougit. Elle pensa qu'elle avait été vraiment indiscrète : c'était comme si on demandait son âge à une femme !!! Cela ne se faisait pas du tout !!!
Elle fut surprise par le désisfectant et dit en souriant au docteur :

Je.. Je suis désolée !!! Cela m'a surprise !!!

Elle retendit sa main au docteur et se garda bien de le regardait cette fois.
Elle l'écouta et sourit quand il dit qu'elle avait raison. Elle ajouta rapidement :

Vous savez je ne dirais rien !!! Je ne le ferais pas parce que je trouve que vous êtes quelqu'un de bien apparament et puis en prime vous êtes médecin !! J'admire votre courage !!! Vous voulez rencontrer mon ami....?

Elle regarda le docteur et elle sourit faiblement ne sachant si cela était bon signe ou le contraire.
Elle rit avec lui et elle le regarda déserrer son garrot. Quand il eut finit elle dit :

Je vous doit quelque chose....?

-Il n’y a pas de problème avec ça, il y a des patients pires que vous..

Oh ça oui, il y en a qui bouge toute le temps et sans arrêt, d’autre qui demande ce que vous faite tout les 15 secondes et d’expliquer presque tout vos faits et geste et c’est encore mieux si on n’a le pourquoi. Dans ces moments là, il se rappelle l’examen qu’il a passée pour avoir son diplôme de médecin, c’était vraiment spécial de se sentir replongée plus de 200ans en arrière. Vu que c’est des souvenirs en mémoire de vampire, il peut encore les garder en mémoire un bon moment, bien que à la force de raconter son histoire humaine, et même si tout est en quelques sortes de mauvaise qualité, il le retient bien mieux que si il ne l’avait jamais prononcer et tenterait d’y réfléchir. Occupée à terminée le pansement et à desserre le garrot petit à petit surtout pour qu’elle n’aille pas trop mal car de toute façon, ca va se réveillée. Le bras engourdis va recevoir à nouveau l’apport en masse de sang et donc retrouvé tout sa sensibilité. C’était quelque chose d’inévitable et pourtant, il n’aimait pas du tout que les gens en face de lui aye mal.

Elle reprit la parole. Quelqu’un de bien, il lui esquisse un sourire de remerciement, oui sans doute, il ne voulait pas être se monstre affamée de sang qui doit tuer pour se sustenter, ça ne lui irait pas, il n’aimait pas prendre une vie et ne le ferait qu’en cas ou il n’aurait aucune autres solutions probables. Il garda la tête la plus calme et douce qu’il pu, avant de répondre à sa question. Se reculant le travail finit sur son bras.

-Je vous en remercie..Vous savez avec le temps qui passe, ca ne me fait presque plus rien de venir travailler ici avec l’odeur autours de moi…Et oui j’aimerais rencontrer votre ami, si ça ne le dérange pas bien sur. Simplement, nous ne somme pas une menace pour les humains, votre amis non plus à ca que vous e dites mais il y a des choses qu’il vaudrait mieux qu’il sache si il vit ici..Ne vous inquiété pas il ne risque rien..

Carlisle ne voulait pas non plus qu’elle s’inquiète. Il se relève et va près de son bureau prendre un Bic et une feuille pour commence à noter certaine chose quand il tourne la tête vers elle.

-A moi rien du tout, c’est l’hôpital qui se chargera de tout ça..Si jamais vous avez besoin d’un médecin, je veux bien passez, ca vous évitera l’hopital et des dépenses inutiles…

Il sourit avant de reprendre.

-Par contre je vous conseillerais en rentrant chez vous de prendre un anti douleur, ca va se réveillée et surtout de ne pas faire de sport comme l’escalade par exemple, il faut un peu de repos à votre main pour qu’elle cicatrice parfaitement.

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